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Les mensonges avérés de Mohammad bin Hâdî – Première partie




Au nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux.

Que les éloges et les salutations soient sur le Messager d’Allah. Ceci dit :

Toutes les louanges reviennent à Allah, nous Le louons et demandons Son aide et nous cherchons refuge auprès de Lui contre nos propres maux et contre nos mauvaises actions ; celui qu’Allah guide personne ne peut l’égarer et celui qu’Allah égare, personne ne peut le guider.

J’atteste qu’il n’y a de divinité adorée avec vérité qu’Allah, Lui Seul : Il n’a aucun associé, et j’atteste que Mohammad ﷺ est Son serviteur et Son Messager.

Allah dit (ce dont la traduction du sens est) : « Ô les croyants ! Craignez Allah comme Il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission ». [Âli ‘Imrân, 102]

Allah dit (ce dont la traduction du sens est) : « Ô Hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au Nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez Allah de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement ». [An-Nisâ, 1]

Allah dit (ce dont la traduction du sens est) : « Ô vous qui croyez ! Craignez Allah et parlez avec droiture, afin qu’Il améliore vos actions et vous pardonne vos péchés. Quiconque obéit à Allah et à Son Messager obtient certes une grande réussite ». [Al-Ahzâb, 70-71]

Ensuite :

La meilleure parole est la parole d’Allah et la meilleure guidée est la guidée de Mohammad ﷺ. Les pires choses sont celles qui sont inventées (dans la religion), et toutes les choses inventées (dans la religion), sont des innovations (religieuses), et toutes les innovations (religieuses) sont des égarements, et tous les égarements sont en Enfer.

Ceci étant dit :

Cheikh Abou Yahyâ Zakariyâ Al-‘Adanî -qu’Allah le préserve- dit :

« Le mensonge est une affaire gravissime car cela fait partie des choses qu’Allah Le Très-Haut a interdites dans Son Livre et qu’a interdites Son Prophète ﷺ dans sa Sounnah et cela fait partie des péchés majeurs et parce que la menace quant au mensonge est connue. Il n’y a certes aucun doute que “la conséquence et la fin du mensonge sont que celui qui ment est dévoilé”. (1)

Il fait partie des voies d’Allah qu’Il a fait que la bonne fin est aux gens véridiques et que l’humiliation et l’ignominie sont aux menteurs. Il est établi qu’on ne prend pas la science du menteur. L’imam Mâlik -qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit : « On ne prend pas la science de quatre personnes : Un sot qui rend sa sottise publique et ce même s’il fait partie des gens qui narrent le plus (d’ahâdîth), quelqu’un qui est sur une innovation religieuse qui appelle à sa passion et celui qui ment dans les paroles des gens et ce même si je ne l’accuse pas de mentir dans le hadîth et quelqu’un qui est vertueux et adorateur de mérite mais qui ne mémorise pas ce qu’il narre ». (2)

Voici présentés à toi mon frère le lecteur une série de paroles qui ont émané de Dr. Mohammad bin Hâdî afin que tu les pèses avec la balance de la Législation islamique et afin que tu les analyses avec impartialité et équité, qu’Allah nous accorde ainsi qu’à vous la clairvoyance en ce qui concerne la vérité.

1. Dr. Mohammad bin Hâdî a faussement accusé un musulman de fornication et ce lors d’une allocution dans l’une des demeures d’Allah (mosquées), allocution ayant pour titre “Le silence” (3). Celui qui accuse faussement un musulman est déclaré menteur par le texte du Livre d’Allah tant qu’il n’amène pas les témoins nécessaires et ce même s’il est véridique dans sa vision de la fornication encore plus si cela n’est même pas arrivé ! Il n’a de repentir possible que s’il se dément lui-même. (4)

2. Il a prétendu lors de certaines de ses rencontres qu’il aurait dit à une certaine personne de mérite -lorsqu’il a discuté avec lui de l’enseignement de certains frères- : « Ceux-là ont eux-mêmes besoin d’apprendre les fondements (5) et je lui ai parlé en lui disant ce qui est obligatoire à ce sujet ! Il est donc parti et n’est pas revenu vers moi ! Je ne sais pas s’il a aimé ce que je lui ai dit ou il ne l’a pas aimé ! » alors que celui qui lui a parlé de l’affaire des frères est Cheikh ‘Abdoullâh Al-Boukhârî et il dément cela de manière catégorique. La réalité dément également cela car Mohammad bin Hâdî enjoignait à certains de ces frères d’enseigner et les incitait à cela mais de plus il faisait l’éloge de certains parmi eux comme cela est enregistré de sa parole !



(1) Ceci fut dit par Mohammad bin Hâdî dans son introduction de son allocution ‘’Il est maintenant temps que Mohammad bin Hâdî sorte de son silence’’.
(2) Siyar a’lâm an-noubalâ (7-162) et Al-Âdâb ach-chari’yyah d’Ibn Mouflih (2-251).
(3) Son allocution ‘’Il est maintenant temps que Mohammad bin Hâdî sorte de son silence’’.
(4) Dr. Mohammad bin Hâdî a dit au sujet d’Abou Ayyoub Al-Maghribî : ‘’’âhir, fâjir, ‘irbîd’’. Et le terme ‘âhir fait partie des termes qui explicitement accusent autrui de fornication.
(5) N.d.t : Il parle ici de certains chouioukhs parmi les étudiants en sciences islamiques confirmés et les gens de science qui enseignaient une série de cours de bases sur les fondements pour les débutants.


Traduit par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân Al-Maghribî – le jeudi 5 mars 2020.