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Les mensonges avérés de Mohammad bin Hâdî – Première partie


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Défense de l’imam de la critique et de l’éloge

Défense de l’imam de la critique et de l’éloge : Réponse à Lazhar Seniqra

Cheikh’ Omar Al-Hâjj Mas’oud – qu’Allah le préserve

> Traduction : AbdelMalik Abou ‘AbderRahman Al-Faransi.


Traduction française de la défense du grand savant Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- par Cheikh’ Omar Al-Hâjj Mas’oud -qu’Allah le récompense en bien- contre 5 accusations graves (5 en 49 sec d’audio !) et mensongères de Lazhar Seniqrah. Ceci est une preuve supplémentaire parmi les nombreuses preuves qui indiquent que les gens de science ont eu raison de mettre en garde contre lui et contre ses jugements fallacieux basés sur sa méthodologie déviante. Qu’Allah récompense nos savants et leurs élèves pour leur défense de la religion et des savants qui l’enseignent à la communauté !


Défense de l’imam de la critique et de l’éloge
دفاع عن إمام الجرح والتعديل


Certes les dernières paroles provenant de Azhar Seniqra – qu’Allah nous guide ainsi que lui-même – contiennent un mauvais comportement évident ainsi qu’une diffamation claire et un rabaissement abject du Cheikh Rabī’. Ainsi l’audio de quarante-neuf secondes (c’est-à-dire moins d’une minute) contient cinq diffamations concernant l’imam de la critique et de l’éloge, et elles sont les suivantes :

1- « Il n’est pas au niveau de Cheikh Al-Fawzān » afin de se permettre de parler sur Ibn Hādī et de le critiquer. Ce sont des propos étranges que nous n’avons pas eu l’habitude d’entendre jusqu’à maintenant. Est-ce que toi ô Azhar, tu es au niveau de Cheikh Abd el Ghani Aoussat par exemple afin de te permettre de critiquer les Machāyikhs et les étudiants et de t’opposer à eux !?

De plus, les deux Cheikh que sont Rabī’ et Al-Fawzān sont pour nous des grands savants vers qui nous revenons, chacun d’entre eux ayant son domaine de spécialité et de prédilection. Ainsi, faire que l’un des deux soit plus grand que l’autre n’a aucun sens si ce n’est de diffamer, de rabaisser et de rejeter les jugements et les recommandations.

Et c’est ce qu’a voulu Azhar dans sa prétention que Rabī’ n’est pas au niveau d’Al-Fawzān. Tout cela ne lui est d’aucune utilité car Al-Fawzān n’accepte pas – et cela avec certitude – leur nouvelle voie, les propos tenus par le Cheikh (qu’Allah le préserve) étant bien connus.

Ainsi, le but voulu est de fuir des conseils de Cheikh Rabī’ et de se débarrasser de ses jugements, et rien d’autre que cela.

2- « Il a parlé faussement », c’est-à-dire : qu’il est devenu une personne qui parle avec le faux et suit les passions. Ceci est un mensonge vide d’argument et rien ne t’a poussé à cela si ce n’est qu’il t’a conseillé ainsi qu’Ibn Hādī et qu’il a mis en garde contre vous deux jusqu’à ce que vous reveniez vers la réconciliation et le rassemblement avec vos frères et que vous repreniez l’entraide avec eux dans la bonté et la piété.

Et puis comment aurait-il pu parler faussement alors qu’il n’a fait que réciter les versets du Noble Coran et qu’il mit en lumière le statut de celui qui accuse autrui de fornication et de ce qui s’en suit. Allah le Très-Haut a dit (dans le sens des versets) : « Et ceux qui lancent des accusations contre des femmes chastes sans produire par la suite quatre témoins, fouettez-les de quatre-vingts coups de fouet, et n’acceptez plus jamais leur témoignage. Et ceux-là sont les pervers, à l’exception de ceux qui, après cela, se repentent et se réforment, car Allah est Pardonneur et Très Miséricordieux. » [La lumière : 5-6].

3- « Il a dit au sujet d’Ibn Hādī ce que l’on ne dirait pas au sujet du moindre des musulmans et que l’on ne dirait qu’au sujet d’un mécréant », c’est-à-dire sa parole : « Il s’est opposé à Allah et à Son Messager », alors que ce qui est connu est que Cheikh Rabī’ a dit : « Quiconque prend position avec Muhammad Ibn Hādī sera alors opposé à Allah et à Son Messager. » (Regarde sur le site sahab assalafiyya).

Et Azhar à chaque fois dit : Cheikh Rabī’ a dit au sujet d’Ibn Hādī…

Qu’il corrige alors ses données.

Puis d’où sors-tu que celui qui s’oppose à Allah et à Son Messager est seulement le mécréant ? Cela, tu le sors de ton sac et du fait que tu ne lis pas les paroles des gens de science, car ils font la distinction entre l’opposition totale qui implique la mécréance et la sortie de la religion et l’opposition partielle qui induit à l’innovation et la perversion, et n’induit pas à la mécréance majeure, comme l’a stipulé Cheikh An-Najmī – qu’Allah lui fasse miséricorde – dans les annotations qu’il a faites à l’épitre des trois fondements, ainsi que d’autres que lui parmi les savants.

Cheikh Al-Islam Ibn Taymiyyah – qu’Allah lui fasse miséricorde – a dit dans « As-Sārim Al-Masloūl » (p. 30) : « Les grands péchés font partie des branches de l’opposition à Allah et à Son Messager. Ainsi, celui qui les commet sera en opposition d’un point de vue, même s’il est allié à Allah et à Son Messager d’un autre point de vue. »

Et Cheikh Al-‘Outheymīne utilisa ce terme pour désigner celui qui a divorcé son épouse par trois fois en une assise afin de ne pas être amené à la reprendre, ainsi que celui qui a chassé son fils de la maison car il s’est laissé pousser la barbe.

Cheikh Al-Fawzān, de même, comme on peut le trouver sur son site internet officiel a dit : « Ainsi Allah a honoré les gens de science et a fait leurs éloges, de même que le Messager (صلى الله عليه وسلم) les a honorés et a fait leurs éloges. Vient ensuite une personne qui les rabaisse, éloigne les gens d’eux et les mentionne par des descriptions répréhensibles. Celui-là est en contradiction avec Allah et avec Son Messager, en opposition à Allah et à Son Messager, il trompe les musulmans. Il est obligatoire de faire attention à ces choses-là. »

Nul n’ignore qu’accuser le musulman de fornication est un grand péché, dont la gravité n’est pas moindre pour le croyant que certains péchés mentionnés précédemment.

Ce qui est étonnant, c’est que Azhar lui-même a utilisé ce terme pour désigner un acte beaucoup moins grave que l’accusation de fornication. Il a dit : « Ces mosquées qu’il nous a été ordonné de construire suivant la manière prophétique, sans aucune contradiction, sans aucun ornement, car il y’a en cela une opposition à Allah et à Son Messager, ainsi que la dépense et le gâchis des biens des musulmans… »

Est-ce qu’il va se repentir d’avoir excommunié (Takfīr) les musulmans – compte tenu de ce qu’il a stipulé dans son audio – qui gâchent l’argent des bienfaisants et de ceux qui dépensent pour la construction des mosquées !?

4- « Il a commis un acte grave », c’est-à-dire qu’il a prononcé des propos gravissimes ainsi qu’une accusation sévère qui ne sied pas à celui qui occupe la responsabilité d’émettre des critiques religieuses. Et cela revient à l’accuser – qu’Allah le préserve – d’être injuste et de ne pas faire preuve d’équité, alors qu’il a parlé en se basant sur des preuves et des arguments évidents.

5- « Il n’est pas revenu sur cet acte grave qu’il a commis », c’est-à-dire qu’il a commis une injustice, en a pris conscience, puis a persévéré dans cela et ne s’est pas repenti.

Est-ce ainsi que l’on parle aux savants et que l’on se tient face aux gens méritoires ? Est-ce que le savant, le combattant dans le sentier d’Allah, le conseiller, l’éducateur, fait preuve d’injustice et transgresse le droit d’autrui ? Est-il devenu ignorant de la critique et de l’éloge alors qu’il en est l’imam chez toi et chez autrui !?

Certes, le Cheikh Rabī’ n’a parlé au sujet d’Ibn Hādī qu’en fonction de ce qu’il considère de lui, en se basant sur des preuves et des arguments évidents. Comment peut-on dire avec une telle insolence : Il a commis un acte grave et il ne s’en est pas repenti ?

Ces accusations diffamatoires s’ajoutent à ce qui a précédé de Azhar : « Il va et vient difficilement », c’est-à-dire : Il est âgé et fatigué, « on lui fait des lavages », c’est-à-dire : des lavages de cerveau, « Il a un entourage mauvais », « Il est entouré de mauvaises personnes », « On lui dit des mensonges et il les accepte », « S’il parle en mal de nous il va être la cause de sa propre chute » …

Et je ne pense pas qu’il aurait pensé à ce genre de paroles si le suivi des passions, la volonté de l’emporter sur autrui, l’amour propre, la vanité, l’arrogance et l’orgueil ne s’étaient pas immiscés. C’est par cela qu’a été rejeté la vérité enjointe par Ar-Rabī’ et ses frères les savants. Certes Azhar aspira à ce qu’il (Cheikh Rabī’) soit dans leur rang (avec eux) et qu’il les conforte dans la voie qu’ils empruntèrent, cependant – qu’Allah le rétribue de tout bien – il ne parla qu’avec vérité et prit la défense des oppressés.

Et que la personne douée de raison médite la parole d’Allah le Très-Haut au sujet des juifs (dans les sens du verset) : « Est-ce que chaque fois qu’un Messager vous apportait des vérités contraires à vos désirs, vous vous enfliez d’orgueil ? Vous traitiez les uns d’imposteurs et vous tuiez les autres. » [La vache : 87].

Ainsi, les passions empêchent la personne de voir la vérité et le poussent à la refuser.

Cheikh Al-Islam a dit dans « Minhāj As-Sounnah » (6/302) : « Certes, les passions rendent aveugle et sourd. L’adepte des passions accepte ce qui est en accord à ses passions sans aucune preuve qui implique de l’accepter et il rejette ce qui contredit ses passions sans aucune preuve qui implique de le rejeter. »

Ô mon frère, fait ton examen de conscience et repens-toi à ton Seigneur et réforme ce qu’il y a entre toi et tes savants, « Certes Allah aime les repentants et Il aime ceux qui se purifient » [La vache : 222].

Et prends garde à faire partie de ceux au sujet desquels tu as dit : « Cheikh Rabī’ et le reste des savants de la Sounnah qui exposent la vérité sont une épreuve pour les gens à notre époque, ne commet une diffamation envers eux, ni ne dévalue l’importance d’être de bon comportement envers eux qu’un adepte des passions en proie aux troubles, ou une personne sectaire putréfiée pleine de rancoeur. »

Ô Allah pardonne-nous et accepte notre repentir, certes Tu es Le Pardonneur et L’Accueillant au repentir.


Ecrit par : Omar Ibn Messaoud El-Hadj Messaoud – La nuit de mardi le 9 Ramadān 1440 du calendrier de l’hégire. Le 13 mais 2019 du calendrier grégorien. Traduit par : AbdelMalik Abou ‘AbderRahman Al-Faransi

Lazhar n’est pas apte à la critique et à l’éloge!

Lazhar n’est pas apte à la critique et à l’éloge !

Cheikh Khâlid Hammoudah – qu’Allah le préserve

> Traduction : Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân.


Suite à l’audio dans lequel Lazhar Seniqrah -qu’Allah le réforme- met en garde contre moi et contre d’autres prédicateurs salafis francophones, Cheikh Khâlid Hammoudah [1] -qu’Allah le préserve et le récompense en bien- a écrit un excellent article dans lequel il démontre que Lazhar Seniqrah n’est pas apte à la critique et l’éloge et énumère les raisons pour lesquelles cette mise en garde n’est pas correcte et ne doit pas être prise en compte. Cet article a pour titre :


Lazhar Seniqrah n’est pas apte à la critique et à l’éloge
لزهر ليس أهلا للجرح والتعديل

Cheikh Khâlid Hammoudah -qu’Allah le préserve et le récompense en bien- dit :


M’est certes parvenu ainsi qu’à d’autres que moi la parole de Lazhar Seniqrah -qu’Allah le guide- et sa mise en garde à l’encontre des frères étudiants en sciences islamiques francophones qui prêchent en France et dans les autres pays francophones comme la Belgique, le Canada et un nombre de pays africains. Il résulte de cette mise en garde un embrouillage pour certaines personnes surtout les nouveaux convertis et ceux qui pratiquent la voie de droiture depuis peu et en résulte un tort causé à ces prédicateurs.

Il résulte de cette mise en garde un embrouillage pour certaines personnes surtout les nouveaux convertis et ceux qui pratiquent la voie de droiture depuis peu et en résulte un tort causé à ces prédicateurs.

Il n’y a aucun doute que son acte est un crime envers l’appel à Allah Le Très-Haut. L’Islam et la salafiyyah sont innocents de cet acte imprudent qui ne sert que les ennemis de l’Islam et les opposants au prêche salafi pur, le prêche de l’Islam authentique avec lequel Allah Le Très-Haut a envoyé Ses prophètes et Ses messagers du premier au dernier d’entre eux.

Mes nobles frères ! Les savants de l’Islam sont unanimes sur le fait que la parole de celui qui fait le jarh (la critique) n’est pas acceptée tant qu’elle ne réunit pas deux caractéristiques :

1. La première : La piété et al-wara’ [2]. Cette caractéristique empêche celui qui critique de parler sur les gens par passion et désir et par ce qu’impliquent les objectifs personnels et ce que réclament les intérêts sectaires.

2. La deuxième : la science des raisons de la critique et la capacité de faire la distinction entre ce qui qualifie comme raison de critique et ce qui ne qualifie pas pour cela.

J’ai écrit une parole de notre cheikh Rabî’ bin Hâdî Al-Madkhalî -qu’Allah le préserve- qu’il a dite à son domicile le 13/06/1425 H. qui est la suivante : « Il n’appartient pas à n’importe qui de critiquer. Mais au contraire cela revient au savant qui est pieux et qui a alwara’ et qui connaît les raisons de la critique et connaît la divergence à ce sujet ».

Cet homme (Lazhar Seniqrah) ne possède aucune de ces deux caractéristiques :

Quant à la piété et à al-wara’, je ne critique pas sa pratique de la religion et je ne l’accuse pas dans sa piété envers son Seigneur car cela est entre lui et son Créateur mais j’affirme qu’il parle sur les gens en fonction de motifs passionnels et d’objectifs personnels et sectaires.

Il suffit en termes de preuves quant à cela que lorsqu’il est entré dans la fitnah de ceux qui ont semé la division, nous l’avons vu recommander des gens qu’il critiquait et dont il parlait en mal auparavant à l’instar d’Ousâmah bnou ‘Atâyâ Al-‘Otaybî le Palestinien et Ibrâhîm Bouîrân et Muhammad Zerarqah et Younes bnou Hajar et d’autres encore.

Je dénombre, parmi cette catégorie de gens qu’il critiquait auparavant et que maintenant il recommande, près de dix personnes.

Il n’a pas changé sa parole à leur sujet car leur situation a changé ou parce que les raisons de la critique ne sont plus présentes -comme c’est la méthodologie des gens de science à ce sujet- mais au contraire car ils font partie maintenant de son groupe qui est d’accord avec lui quant à sa manière d’agir et sa méthodologie et ceci est le sectarisme même et la passion même.

Si cela n’était vrai qu’au sujet d’une seule de ces personnes, cela suffirait à faire tomber ses jugements. Alors qu’en est-il lorsque cela est établi au sujet de nombreux individus ?!

Quant à la connaissance des raisons de la critique, il suffit en termes de preuves sur le fait qu’il ne possède pas cette caractéristique qu’il a mis en garde contre ces frères sans motif si ce n’est -selon ce qu’il prétend- qu’ils se sont désavoués de Muhammad bin Hâdî alors qu’il sait que les savants et les chouioukh ont étudié leur clarification et l’ont approuvée.

S’il avait exercé le jugement selon la science et s’il avait jugé en fonction de la piété, il se serait comporté avec eux -au moins- de la manière par laquelle on se comporte dans les affaires qui sont sujets à divergence car Cheikh Rabî’ bin Hâdî Al-Madkhalî – qui est le porteur de l’étendard de la science de la critique et de l’éloge- a critiqué Muhammad bin Hâdî et a mis en garde contre lui.

Il n’est donc pas permis à qui que ce soit de mettre en garde contre quelqu’un car il a suivi l’imam de la science de la critique et de l’éloge au sujet d’une affaire dont il lui est apparu que c’est juste et que c’est la vérité et que c’est soutenu par les preuves claires.

Cheikh Rabî’ n’est d’ailleurs pas isolé dans ce jugement mais au contraire sont d’accord avec lui Cheikh ‘Oubayd Al-Jâbirî et Cheikh Hasan bin ‘Abdil-Wahhâb Al-Bannâ et Cheikh ‘Abdoullâh Al-Boukhârî ainsi qu’un grand nombre de chouioukh et d’étudiants en sciences islamiques dans le Monde musulman.

Donc si ces frères sont convaincus par les paroles de ces gens de science, alors aucun blâme et aucun reproche ne peuvent leur être faits mais de plus ils ont raison à ce sujet et ils ont bien fait et ils sont récompensés -si Allah Le Très-Haut le veut- car ils se sont tenus du côté de la vérité et l’ont supportée. S’il voit qu’ils sont en erreur, il ne lui est alors pas permis de mettre en garde contre eux en raison de cela.

Parmi les choses étonnantes, c’est qu’il les raille en disant qu’ils ont délaissé le conseil à Muhammad bin Hâdî et que donc ils ne lui ont pas écrit et ne l’ont pas conseillé.

Il leur donne en raison de cela les caractéristiques de tricherie et de trahison.

On lui répond que :

1. Premièrement : Le conseil ne leur est pas obligatoire car il a déjà été conseillé par plus âgé et plus savant que lui et donc la preuve a déjà été dressée contre lui par le conseil de ceux-ci.

2. Deuxièmement : Toi, Ô Lazhar ! Tu as certes mis en garde contre ces frères-là en France et ailleurs alors que tu ne les as pas conseillés et tu ne leur as pas écrit. Si tu prétends avoir conseillé l’un d’entre eux, où est donc le conseil au reste de ces frères ?! Tu as donc jugé ta propre personne de tricherie et trahison.

Lazhar a certes critiqué huit chouioukh parmi les chouioukh d’Al-Islâh en Algérie qui font partie des gens qui sont mieux que lui et sont plus savants que lui et qui sont plus bénéfiques au prêche et plus justes en termes de Législation islamique. Il les a certes insultés d’insultes indécentes et les a décrits comme étant “houthâlah” (déchet, rebut, lie) et ceci est enregistré de sa voix et la raison est également car ils se sont désavoués de Muhammad bin Hâdî !!

C’est donc comme si pour lui toute la religion tournait autour de Muhammad bin Hâdî !!

Il a jeté les paroles des savants contre le mur et a fait de cet homme le test de cette époque. Toute personne qui le critique, il met en garde contre elle et ne se soucie de rien !!

Ceci est une sévère déviance de la voie correcte et un sectarisme détestable au sujet duquel Allah n’a fait descendre aucune preuve car le test ne se fait qu’au moyen des savants de la Sounnah qui sont critiqués par ceux qui les critiquent en raison de ce qu’ils portent et de ce auquel ils appellent en termes de Sounnah et de droiture.

Quant à Mohammad bin Hâdî, les salafis l’ont critiqué en raison de son injustice et parce qu’il a divisé les salafis dans le Monde entier. Ceci a été appuyé par le juge du tribunal islamique qui lui a donné comme sentence la peine légale pour accusation de fornication envers un musulman innocent.

Est-ce que les gens sont testés au moyen d’une telle personne et est-ce qu’on met en garde contre les prédicateurs qui appellent à Allah Le Très-Haut en raison de leurs paroles à son égard ?!

Ceci -par Allah ! – est un aveuglement ! Nous demandons à Allah la protection contre le lâchage !

Tout ceci fait partie des choses qui démontrent que Lazhar ne pèse pas les choses avec la balance correcte avec laquelle on pèse les gens mais au contraire il ne pèse les gens qu’avec sa mauvaise compréhension et son sectarisme étroit.

Donc celui qui s’allie à lui ainsi qu’à son groupe, il le recommande et fait son éloge et ce même si c’est un grand fauteur de troubles qui corrompt mais de plus même s’il fait partie de ceux qu’il critiquait avant cela.

Celui qui n’est pas d’accord avec lui ainsi qu’avec son groupe, il le critique et met en garde contre lui et parle de lui en mal et ce même s’il fait partie des meilleurs prédicateurs -qui appellent à Allah- en termes de science et de droiture et de prêche.

Il ne faut donc pas prêter attention à la parole de la personne dont telle est la situation ni la rapporter à la base si ce n’est pour le réfuter et montrer son erreur et sa déviance par rapport à la voie de vérité et à la voie de droiture dans ce sujet d’une grande importance.

Je demande à Allah Le Très-Haut qu’Il nous guide ainsi que nos frères vers le chemin de droiture et qu’Il nous comble en nous affermissant sur cette voie et qu’Il écarte de nous le mal et les troubles ce qui en est apparent et ce qui en est caché et d’unifier la parole des Gens de la Sounnah salafis et d’écarter d’eux le mal de ceux qui divisent et la ruse de ceux qui sont à l’affût.

Allah est Le plus savant.

Que les Éloges d’Allah et Ses Salutations soient sur notre Prophète Muhammad ainsi que ses suiveurs et ses Compagnons.


 

[1] Cheikh algérien dont Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- recommande les réfutations et chez qui il conseille d’étudier. Parmi ses enseignants : Cheikh Yousouf Ad-Dakhîl, Cheikh Rabî’, Cheikh ‘Abdel-Mohsin Al-‘Abbâd, Cheikh ‘Abder-Rahmân Al-Kounî, Cheikh ‘Abdoullâh Al-Ghoudayyân, Cheikh ‘Oubaydoullâh Al-Afghânî, Cheikh ‘Abdoullâh bnou ‘Aqîl, Cheikh Mouflih Ar-Rouchaydî qui disait à son sujet : ‘’Voici le leader des jeunes d’Algérie’’. Et d’autres encore.

[2] Ibn Al-Qayyim l’a défini comme étant le délaissement de ce dont on craint qu’il porte préjudice le Jour Dernier. Voir Fawâid al-fawâid 241.

 


Ecrit par Khâlid Hammoudah (Le dimanche 30/04/1440 H) – Site : www.spfbirmingham.com

Au sujet de la campagne de dénigrement à mon égard !

Au sujet de la campagne de dénigrement à mon égard !

Écrit à Bruxelles le Dimanche 30 Décembre 2018

Par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân.


Depuis que j’ai commencé à cheminer sur la voie de l’appel au Coran et à la Sounnah selon la compréhension des pieux prédécesseurs il y a près d’une vingtaine d’années, j’ai souvent été la cible de campagnes de dénigrement dont les intensités ont varié en fonction des différents contextes et des différents instigateurs de ces campagnes proportionnellement à leur fanatisme et à leur niveau de fourberie et de malhonnêteté.

Comme à l’époque de Fâlih Al-Harbî -qui a revivifié la méthodologie de son mentor Mahmoud Al-Haddâd en étant l’acteur principal de cette deuxième vague de la haddâdiyyah après la vague fondatrice- lorsque j’ai propagé les paroles et écrits de l’éminent savant et spécialiste reconnu en la matière Cheikh Rabî’ bin Hâdî Al-Madkhalî qu’Allah le préserve. A cette époque, les attaques étaient plus à l’encontre de ma croyance par les qualificatifs de mourjî etc. plus qu’elles n’étaient personnelles..

Ensuite avec les suiveurs fanatiques de Yahyâ Al-Hajourî lors de la troisième vague de la haddâdiyyah. Les attaques se sont faites alors plus personnelles même s’ils elles avaient encore un lien avec certains aspects de la science et je me suis donc attaché à traduire les clarifications et réfutations des savants avec à leur tête Cheikh Rabî’ bin Hâdî Al-Madkhalî qu’Allah le préserve. J’ai même consacré un site à ces réfutations www.al-hajouri.com.

Par après j’eus affaire à Farid Al-Mekkî et ses suiveurs qui rejoignaient les haddâdis dans la caractéristique de dureté. Les attaques se furent alors beaucoup plus personnelles et un nouveau palier fût atteint dans les accusations et les calomnies en accord avec la méthodologie de ‘’montage de dossiers incriminants’’ préconisée et appliquée par certains fauteurs de troubles notoires infiltrés dans la da’wah salafiyyah depuis maintenant près d’une vingtaine d’années. Comme à mon habitude, je suis revenu aux gens de science quant à Farid Al-Mekki qui portait atteinte à la da’wah salafiyyah en général et à Cheikh Rabî’ en particulier car il se revendiquait faussement être très proche du cheikh et que le cheikh était satisfait de lui. La parole de Cheikh Rabî’ fût tranchante lorsqu’il dit qu’il ne conseillait pas cet individu et -toutes les louanges reviennent à Allah- la grande majorité de ses suiveurs fanatiques sont revenus à la raison et à la vérité non sans avoir d’abord été les instruments d’un acharnement à mon égard. Il est d’ailleurs important de souligner qu’il était tout à leur honneur de s’être repentis et de m’avoir contacté pour me demander pardon.

Plus récemment, lorsque peut-être la plus grande fitnah qui ait jamais touché les salafis à notre époque a éclaté en la personne de Muhammad bin Hâdî, après avoir gardé le silence en attente du jugement des grands savants j’ai clarifié la vérité en traduisant les clarifications et réfutations des gens de science ainsi que les mises en garde à son encontre. Les attaques ont alors atteint un niveau jamais atteint auparavant et ont atteint un point culminant lorsque j’ai signé avec un grand nombre de mes frères prédicateurs salafis francophones une clarification et un désaveu quant à Muhammad bin Hâdî Al-Madkhalî et sa méthodologie que Cheikh Rabî a décrite comme étant plus vile que celle des haddâdis.

Cette fitnah et celle qui touche la da’wah salafiyyah en Algérie étant fortement liées, j’ai également traduit et diffusé sur mon site les mises en garde de savants saoudiens et algériens à l’encontre de ceux qui sont les pendants de Muhammad bin Hâdî en Algérie à savoir Azhar Seniqrah et ‘Abdel-Majîd Joumou’ah ainsi que ceux qui sont avec eux. Les fauteurs de trouble de différents pays se sont alors associés en sachant que les leaders parmi eux sont les mêmes qui ont participé à toutes les fitan et campagnes de dénigrement précédentes. Un nombre de haineux pour des raisons personnelles en raison d’une jalousie ou d’une rancune suite à un dévoilement de leurs exactions à des postes qu’ils tenaient dans la da’wah ou autres sont venus grossir les rangs de ces fauteurs de troubles leur donnant une nouvelle énergie car ils sont considérés comme des repentis qui auraient une connaissance interne utile à ‘’la méthodologie de montage de dossiers incriminants’’.

Leur ardeur a, ces jours-ci, redoublé et ils ont jeté toutes leurs forces dans ces campagnes calomnieuses afin de me ‘’détruire une fois pour toutes’’ (comme ils l’ont dit !) lorsqu’ils ont obtenu un enregistrement audio d’Azhar Seniqrah dans lequel il met en garde contre moi ainsi que d’autres parmi mes frères prédicateurs salafis francophones en mettent l’accent sur moi et un autre frère en proférant des paroles graves et lourdes de conséquences.

Le but de cet écrit n’est pas une clarification ni une réfutation de tous ces propos mensongers mais une simple introduction avant que le reste ne sorte de la bouche de nos savants et de différents témoins ainsi que de notre plume avec toutes les preuves sous différents formats. Cette introduction est d’autant plus importante car mon silence peut être interprété par les faibles d’esprit et les ignorants comme étant un signe de faiblesse ou même un aveu tacite de ma culpabilité. Mes proches et les gens qui connaissent mon travail savent très bien que ce n’est pas du tout le cas mais qu’au contraire je ne parle que quand c’est nécessaire et que d’une manière propre et scientifique autant que je puisse le faire avec pour objectif principal de rétablir la vérité non pas une vengeance personnelle et surtout après avoir eu l’aval des gens de science. L’audio d’Azhar Seniqrah reprend plusieurs points que nous allons reprendre point par point inchaa Allah avec preuves et paroles de savants reconnus inchaa Allah.

Certains sont de l’ordre de la méthodologie en raison de ma prise de position ainsi que celles de mes frères prédicateurs avec les savants tels Cheikh ‘Abdoullâh Al-Boukhârî et Cheikh ‘Oubayd Al-Jâbirî et Cheikh Rabî’ Al-Madkhalî et Cheikh Hasan bin ‘Abdil-Wahhâb Al-Bannâ qu’Allah les préserve tous.

Nous laissons ceux-ci aux gens de science car cela fait certes partie de leurs prérogatives et nous ne pouvons certes que les suivre dans leur jugement de vérité avec les preuves légiférées.

D’autres points sont plus de l’ordre de l’attaque personnelle même s’ils ont un lien avec la da’wah. Nous y répondrons donc personnellement avec toutes les preuves et les témoignages qui prouvent le caractère mensonger des paroles d’Azhar Seniqrah. Ceci n’est pas surprenant car à titre de rappel le savant algérien Cheikh ‘Abdel-Ghanî ‘Aouissât -qu’Allah le préserve- a dit de lui et de ‘Abdel-Majid Joumou’ah : « Ces gens qui sont arrivés à ce degré de mensonge et à ce degré de méchanceté et à ce degré de corruption et de mensonge c’est-à-dire de très nombreuses choses, de nombreuses mauvaises choses. Moi maintenant je me suis lavé les mains de ces gens-là. Je n’ai pas connu dans ma longue vie de da’wah -qui est longue d’à peu-près … plus de 40 ans- je leur ai dit que je n’ai jamais rencontré plus menteur que ‘Abdel-Majîd Joumou’ah, je n’ai pas trouvé non plus plus menteur qu’Azhar Seniqrah tu vois qu’il parle sur Cheikh Rabî et il parle sur cheikh… sa langue est longue il ne fait que lâcher des paroles, lâcher des paroles, il ne réfléchit pas il ne pense pas » [1].

Dans son audio, Azhar Seniqrah profère des accusations à mon égard quant à la gestion de Markaz Al-Forqane en Belgique. Il est donc de mon devoir pour défendre la réputation du markaz de clarifier d’un côté le caractère fallacieux des propos d’Azhar Seniqrah quant à mon assise avec lui en citant notamment le témoignage du frère qui a organisé ces assises dans lesquels il dément ce qu’Azhar avance. D’un autre côté de refaire l’historique de ce markaz et de l’association à but non lucratif ASBL Markaz Al-Forqane avant ma prise des fonctions et après ainsi que l’historique de l’individu qui est à la source des informations ‘’fuitées’’ en montrant que c’est un menteur en plus de quelqu’un de malhonnête qui n’a de cesse de me calomnier depuis qu’il a été empêché de certains agissements lucratifs dans le centre et depuis que je l’ai mis devant la réalité de sa gestion catastrophique ainsi que de ses collègues [2] à l’époque qui a résulté en la fermeture de tous les locaux de l’association avant que je n’en reprenne les rennes avec une nouvelle équipe en Avril 2017. J’ai d’ailleurs en la qualité de notre frère Hasan Abou Asmâ un excellent témoin de tout ce qui s’est passé à Markaz Al-Forqane depuis son début en 2005 et en particulier lors de la crise en 2017 qui a résultée en la fermeture des locaux lorsque j’avais ouvert un groupe What’s app ‘’Crisis Management’’ juste avant mon entrée en fonction afin d’aider les frères dont ce calomniateur faisait partie et dans lequel Hasan était présent. Azhar Seniqrah sera d’ailleurs peut-être surpris d’apprendre que j’ai des preuves écrites dans lesquelles cet individu sans scrupules passe des jugements graves au sujet du manhaj de Markaz Al-Forqane.

Je montrerai également le caractère fallacieux de l’accusation à mon égard de falsification d’une traduction inchaa Allah.

Wa billâhi at-tawfîq.


 

[1] Cliquez sur le lien pour : écouter l’audio.

[2] Je suis dans l’obligation de souligner que ses collègues ont au moins eu le comportement très honorable de reconnaître leurs torts et de s’en repentir et ils font d’ailleurs toujours partie aujourd’hui du staff de Markaz Al-Forqane et sont témoins des fourberies et calomnies de cet individu qui lui a été arrogant et n’a pas voulu accepter et reconnaître ses torts. Cela a résulté en une haine de sa part et une rancoeur qui nourrissent son désir de vengeance et le motivent à être très actif dans tout ce qui peut porter préjudice à ma personne en tant que manager du markaz.

 


Écrit à Bruxelles le Dimanche 30 Décembre 2018 par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân – Site : www.spfbirmingham.com

Traduction audio du Bayan de Cheikh Hassan Ibn Abdul-Wahhaab Al-Banna et du Cheikh Ali Al-Wasiifi au sujet de la Fitnah de Cheikh Muhammad Bin Haadi

Traduction audio du Bayan de Cheikh Hassan Ibn Abdul-Wahhaab Al-Banna et du Cheikh Ali Al-Wasiifi au sujet de la Fitnah de Cheikh Muhammad Bin Haadi

Cheikh Hassan Ibn Abdul-Wahhaab Al-Banna et Cheikh Ali Al-Wasiifi – (Qu’Allah les préserve)

> Traduction : Abou Hamaad Sulaiman Al-Hayiti