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Analyse et réfutation de l’ambiguïté : Le Cheikh est influencé par les jeunes autour de lui

Analyse et réfutation de l’ambiguïté qui consiste à dire que le Cheikh est influencé par les jeunes autour de lui

Cheikh Muhammad Bâzmoul – qu’Allah le préserve

> Traduit de l’arabe par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân – le Mardi 04 du mois de Rajab 1439 H. correspondant au Samedi 20 Mars 2018. 



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Clarification de l’imam Rabî’ bin Hadî Al-Madkhalî -qu’Allah le préserve- lors de son assise avec les frères visiteurs de Tunisie

Clarification de l’imam Rabî’ bin Hadî Al-Madkhalî -qu’Allah le préserve- lors de son assise avec les frères visiteurs de Tunisie (qu’Allah la préserve)

Cheikh Rabî’ bin Hadî Al-Madkhalî – qu’Allah le préserve.

> Traduit de l’arabe par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân


Voici la traduction de la clarification de l’imam Rabî’ bin Hadî Al-Madkhalî -qu’Allah le préserve- lors de son assise avec les frères visiteurs de Tunisie -qu’Allah la préserve de tout mal ainsi que le reste des pays musulmans- :

« Allah nous a comblés par la visite du pays des deux Mosquées Sacrées (à la Mecque et à Médine) afin de pouvoir effectuer le rite de la ‘omrah et Allah nous a facilité et nous avons pu rencontrer notre cheikh le très savant, le père, Rabî’ bin Hâdî Al-Madkhalî la nuit du 29 du mois de Joumâdâ Al-Âkhirah de l’an 1439 de l’Hégire. Il nous a fait part ainsi qu’à nos frères en Tunisie d’excellents conseils et orientations et ce fût sous le mode d’une session de questions-réponses et en voici les plus importantes :

La première question :
Notre cheikh -qu’Allah vous préserve- : Nous avons des jeunes en Tunisie qui critiquent leurs frères et les traitent de sâ’âfiqah [1] et za’ânif [2] et qui se fanatisent concernant Cheikh Mohammad bin Hâdî Al-Madkhalî.

La réponse :
Mohammad bin Hâdî n’a pas de preuve. Il n’a même pas la moitié d’une preuve. Allah dit (ce dont la traduction du sens est) : « Dis : « Apportez votre preuve, si vous êtes véridiques ! » [3]. Répondez-leur en utilisant comme preuve ce verset contre eux ainsi que les autres versets similaires et exigez de leur part les preuves !

C’est quoi ça sâ’âfiqah ?! Ceux qui n’ont pas de science. Alors que ceux-là (ceux qui sont visés par ce sobriquet) il y a parmi eux des enseignants et des universitaires et ils ont des doctorats et des magistères et parmi eux il y en a qui ont une da’wah. « Dis : « Apportez votre preuve, si vous êtes véridiques ! » [4]. Et donc s’ils ne font pas partie des véridiques alors ils sont eux les menteurs et les oppresseurs. Celui qui critique les gens sans preuve, ceci est un mensonge. Ne parlez sur personne si ce n’est avec les preuves et les arguments qui sont clairs comme le Soleil ! Mohammad bin Hâdî n’a rien. Il n’a même pas un atome de preuve, il n’a que de l’injustice.

Le frère tunisien qui pose les questions :
Cette fitnah s’est répandue en Tunisie.

Le Cheikh qu’Allah le préserve :
Cette fitnah a déchiré les salafis dans le Monde entier, elle s’est répandue partout et pas uniquement dans votre pays.

La deuxième question :
Nous avons des jeunes qui tombent à chaque fitnah. Une fitnah arrive puis ils y tombent puis se repentent puis arrive une autre fitnah puis ils y tombent puis ils se repentent et ainsi de suite.

La réponse :
Cela ne convient pas. Dis leur d’agir posément et de ne pas se précipiter et d’être fermes comme des montagnes.

La troisième question :
Comment doivent se repentir ceux qui sont tombés dans ce genre de choses et ont parlé contre leurs frères et les ont accusés de sâ’âfiqah ?

La réponse :
Ils doivent se repentir et s’excuser auprès de ceux qu’ils ont critiqué.

Le frère tunisien qui pose les questions :
Et s’ils ont écrit sur certaines pages internet ?

La réponse :
Ceux-là se repentissent et publient leurs excuses sur ces pages internet.

La quatrième question :
Ô notre cheikh ! Certains de nos frères parmi les étudiants à Médine ont délaissé les assises de Cheikh Mohammad bin Hâdî et ils (d’autres) ont déclaré les boycotter.

La réponse :
Ceux-là qui les ont boycottés sont des oppresseurs et il ne leur convient pas de faire cela. Ceux qui se fanatisent sur le faux et imitent aveuglément sans preuve ni argument, ceux-là sont aveugles et c’est la méthodologie des gens des passions.

La cinquième question :
Certains, lorsque nous débattons avec eux et leur disons qu’il n’y a pas de preuve, disent : sawfa [5] les preuves vont venir.

La réponse :
Sawfa … Sawfa … Ceci est un mensonge. Il n’y a pas de preuve. S’ils nous amènent les preuves, nous sommes avec les preuves mais qu’on parle sur les gens de manière fausse alors non ! Cheikh Mohammad n’a pas de preuve. Il est venu avec la parole et nous l’avons lue et nous n’y avons rien trouvé. Ceux-là (critiqués) il y a parmi eux des universitaires et il y a parmi eux des docteurs (en sciences islamiques). Il a méprisé ses frères et il a compromis leurs réputations sans preuve ni argument. N’acceptez pas la parole de qui que ce soit qui critique les salafis sans preuve ni clarification (explication). Soyez des frères soudés tels un seul corps, lorsque l’un des membres se plaint tout le corps se fait solidaire par l’insomnie et la fièvre. Ceux-là qui se sont fanatisés pour la parole de Mohammad bin Hâdî de manière fausse et imitent aveuglément sa parole avec le faux sans preuve ni argument, ceux-là ont été éduqués d’une mauvaise éducation, ils n’ont pas été éduqués d’une éducation salafi. Ils n’ont pas été éduqués de l’éducation de l’imam Ahmad et de Cheikh Al-Islâm Ibn Taymiyyah et d’Ibn Al-Qayyim et des autres parmi les pieux prédécesseurs.

La sixième question :
Certains d’entre eux, lorsque nous leur parlons, disent : ‘’Moi, je suis moutawaqqif [6]. Je me tais. Je ne rentre pas dans cette fitnah’’.

La réponse :
Il leur est obligatoire de prendre position contre le faux, contre l’oppression. Allah dit (ce dont la traduction du sens est) : « Si vous faites triompher (la cause d’) Allah, Il vous fera triompher et raffermira vos pas » [7].

La septième question :
Lors des fitan entre les salafis, vers quels chouioukh recommandez-vous de revenir ?

La réponse :
Vous avez Cheikh ‘Oubayd et Cheikh Al-Boukhârî et revenez vers moi ainsi que ceux qui marchent sur leur ligne (voie) parmi les salafis.

Puis en conclusion Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- nous a conseillés la bonne entente mutuelle et il a dit : « Soyez fermes et ne soyez pas (divisés) tels les débris charriés par le torrent ». Et il l’a répété trois fois qu’Allah le préserve ».

Assise en présence de plusieurs frères tunisiens dont :
أحمد صقر
شريف مصدق
أمين لبيض
محمد مطيمط
رضوان مجعي

Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- a relu cette clarification et a autorisé sa publication la nuit du 1-7-1439 H.

Je l’ai moi-même traduite et publiée sur conseil de gens de science.
Mehdi Abou ‘AbdirhRamân – le 18 Mars 2018.


 

(1) N.d.t : Pluriel de sa’fouq : Celui qui se rend au marché alors qu’il n’a ni capital ni argent et donc lorsque les commerçants achètent quelque chose, il s’immisce avec eux dans la transaction. C’est utilisé ici pour décrire des gens comme s’immisçant dans la da’wah sans science et donc dans un domaine qui n’est pas le leur.

(2) N.d.t : Pluriel de za’nafatoun : Nabot, petit de taille, rebut de quelque chose.

(3) [An-Naml, 64].

(4)[An-Naml, 64].

(5) N.d.t : Une particule en Arabe utilisée pour exprimer le futur lointain.

(6) N.d.t : Du mot tawaqqouf qui indique de s’arrêter et de ne pas prendre position.

(7) [Mohammad, 7].

 


Clarification de l’imam Rabî’ bin Hadî Al-Madkhalî -qu’Allah le préserve- lors de son assise avec les frères visiteurs de Tunisie -qu’Allah la préserve
Le Jeudi 02 du mois de Rajab 1439 H. correspondant au Samedi 18 Mars 2018.

Réfutation de l’ambiguïté : Cheikh Rabî’ est vieux

Réfutation de l’ambiguïté qui consiste à dire que Cheikh Rabî’ est vieux

Ecrit sur Twitter par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân
Le Jeudi 29 du mois
de Joumâdâ Al-Âkhirah 1439 H.
Correspondant au Jeudi 15 Mars 2018. 



Parmi les paroles nauséabondes et ambiguïtés dangereuses que l’on peut entendre de nos jours :

« Cheikh Rabî’ a vieilli ».
« Cheikh Rabî’ est maintenant très âgé ».

Ils disent cela afin de préparer la personne qui écoute à ne plus accepter les paroles et les jugements de ce grand imam spécialiste [1] des hommes insinuant que le cheikh étant sénile n’est plus apte à faire la différence entre vérité et faux, qu’il est juste guidé par un entourage qui l’influence dans ses paroles et ses actes tel un vieil homme n’étant plus capable de s’exprimer indépendamment avec science et justesse et sagesse.

C’est une ambiguïté que nous connaissons [2] : شِنْشِنَةٌ أَعْرِفُهَا مِنْ أَخْزَمِ

Nous l’avons entendue de maintes gens connues pour la fitnah et à titre d’exemple nous l’avons entendue d’Abou Al-Fitan comme l’ont appelé les gens de science : Abou Al-Hasan Al-Maribî.

Allah a érigé des savants sur la route de ces innovateurs tels Abou Al-Hasan pour défendre Sa religion et la clarifier en réfutant le faux en détails et la vérité apparaît alors dans toute sa splendeur.

Parmi ces savants : Cheikh ‘Abdoullâh bin ‘Abdir-Rahîm Al-Boukhârî -qu’Allah le préserve- dans cet excellent livre de réfutation des ambiguïtés et égarements d’Abou Al-Hasan :

Al-Fath Ar-Rabbânî fir-rad ‘alâ Abil-Hasan As-Soulaymânî (p.58 et suivantes)

Aboul-Hasan dit : « Et le cheikh [3] a pris de l’âge. Je demande donc à Allah de lui faciliter et de lui accorder l’exactitude ainsi qu’une bonne fin ».

Cheikh ‘Abdoullâh Al-Boukhârî -qu’Allah le préserve- répond en disant : « Cette parole comporte en son sein ce qu’elle comporte et l’indication suffit au perspicace pour comprendre. Et il se peut que quelqu’un dise : ‘’N’est-il pas vrai que le cheikh a vieilli ?!’’.

Nous répondons : Oui mais c’est une parole de vérité par laquelle on recherche le faux. Nous, nous disons que l’âge du cheikh ne lui a rajouté que de l’enracinement dans la science.

Mais Al-Maribî n’entend pas ce sens-là du tout ! Et qu’on ne dise pas ici : ‘’As-tu ouvert son coeur (pour connaître son intention) ?!’’.

Car ceci ne nécessite pas d’ouvrir (son coeur) mais de plus il a lui même ”ouvert” son coeur et a montré ce qui s’y trouve car le fil de la parole ainsi que ce qui la précède et ce qui lui succède -et l’invocation- indiquent que l’homme n’a pas voulu le bon sens mais qu’il a plutôt voulu le sens pour lequel il a écrit cette parole.

Et j’ai eu une discussion avec lui au sujet de cette parole lorsqu’il est venu à Médine au mois de Rabî’ Al-Awwal 1423 H. et je lui ai critiqué cette parole et je lui ai dit : « Il y a dans cette parole un dénigrement envers le cheikh et il y a comme une allusion à ce que les gens qui travaillent dans la science du hadîth et des hommes connaissent de manière spécifique : al-kharaf : le radotage, le gâtisme ».

Et il (Abou-Hasan) s’est enorgueilli et s’est obstiné -comme c’est son habitude- et il a dit : « Ceci est une vérité ! ». Je lui dis alors : « Mais c’est le faux qui est voulu par cette parole car l’avancement du cheikh dans l’âge est une avancée vers le bien -avec la Permission d’Allah- et vers plus de Sounnah. C’est de cette manière que nous jugeons le cheikh et son jugement revient en réalité certes à Allah ».

Fin de citation de Cheikh ‘Abdoullâh Al-Boukhârî qu’Allah le préserve.

Nous disons donc à ceux qui répètent cette parole aujourd’hui au sujet de Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- afin de le faire passer pour un vieux cheikh qui radote et ne sait plus ce qu’il dit : Quel mauvais prédécesseur vous avez en Abou-Hasan Al-Maribi ! Vous vous dévoilez par cette parole et nous disons que l’âge de Cheikh Rabî’ -qu’Allah le préserve- ne lui a rajouté qu’en enracinement dans la science et la justesse et la sagesse et l’expérience.

Toute personne qui voit cheikh Rabî’ aujourd’hui peut témoigner de sa perspicacité et de la vivacité de son intelligence. Je l’ai toujours dit: La vivacité de son regard et l’intelligence qu’il reflète me rappellent celles de Cheikh Al-‘Othaymîn qu’Allah lui fasse miséricorde.


 

(1) : Il est et a toujours été considéré comme tel par les gens de science à tel point que Cheikh Moqbil -qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit au sujet de Cheikh Rabî’ qu’Allah lui fasse miséricorde : « Si Cheikh Rabî’ me critique acceptez cela de lui ! ».

(2) C’est une expression qui est dite pour toute personne qui commet une action mauvaise qu’il a héritée de ses gens. La base de cette expression est qu’Akhzam At-Tâ˜î était un homme désobéissant envers ses parents et quand il fut mort il laissa à son père Abou Akhzam deux fils qui un jour ont frappé leur grand-père et l’ont fait saigner et le grand-père dit cette expression. C’est-à-dire : c’est une mauvaise caractéristique que je connais de votre père (mon fils) et que vous avez héritée de lui.

(3) Il parle ici de Cheikh Rabî’ lorsqu’il a essayé de ‘’réfuter’’ ce noble cheikh qu’Allah le préserve.

 


Ecrit sur Twitter par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân.

Cheikh Al-Louhaydân dément l’existence d’une mise en garde du Comité des grands savants contre Cheikh Rabî’

Cheikh Al-Louhaydân dément l’existence d’une mise en garde du Comité des grands savants contre Cheikh Rabî’

Explications de Cheikh Salîh Al-Louhaydân – qu’Allah le préserve.

> Traduit de l’arabe par : Mehdi Abou Abdirrahman


L’éminent savant salafi Cheikh Sâlih bin Mohammad Al-Louhaydân* –qu’Allah le préserve- a dit en date de ce Dimanche 17 du mois de Cha’bân 1435 h correspondant au Dimanche 15 juin 2014 et ce à son élève Badr Mohammad Al-Badr –qu’Allah le préserve- en présence d’un groupe d’étudiants en sciences islamiques :

Aucune déclaration n’a émané du Comité des grands savants concernant une mise en garde contre les deux cheikhs : Al-Jâmî et Rabî’ Al-Madkhalî “.


* Le Sheikh –qu’Allah le préserve- est un membre permanent du Comité des grands savants du Royaume d’Arabie Saoudite.


Source : www.sahab.net

Cheikh AlFawzân et Cheikh Al-Louhaydân défendent l’imam Al-Albânî

Cheikh AlFawzân et Cheikh Al-Louhaydân défendent l’imam Al-Albânî

Explications de Cheikh Jamâl bnou Fourayhân Al-Hârithî – qu’Allah le préserve.

> Traduit de l’arabe par : Mehdi Abou Abdirrahman


Voici la traduction d’un article écrit par Cheikh Jamâl bnou Fourayhân Al-Hârithî –qu’Allah le préserve- dans lequel il conseille à Hichâm Al-Bîlî Al-Misrî de se repentir quant à sa critique envers l’imam Al-Albânî et du fait qu’il ait tenté d’attribuer cela de manière mensongère au savantissime Cheikh Sâlih Al-Fawzân -qu’Allah le préserve.

Dans le même article le cheikh cite le démenti de Cheikh Al-Fawzân ainsi qu’une parole importante du savantissime Cheikh Sâlih Al-Louhaydân –qu’Allah le préserve- dans laquelle il dit au sujet de trois savants salafis détestés par les gens de l’innovation (religieuse)…”

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Source : http://vb.noor-alyaqeen.com/t30392/#post184197.

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